FEG: 4, 165 n° 562 (Besançon, Henri HOURS)
Recense
Se réfère à
- 0.82 personnesde 1394 à 1426FEG: 4, 165 n° 562 (Besançon, Henri HOURS)
- 0.82 personnesFEG: 4, 165 n° 562 (Besançon, Henri HOURS)
- /En %1423% (6 septembre), l'université se félicite que $Jean de NANT, évêque de Paris$ lui ait transmis une bulle pontificale, et le remercie d'autant plus vivement qu'il l'a fait de sa pleine grâce ; ces remerciements ne sont toutefois pas faits au nom de l'université, ce qui pourrait laisser croire que l'université lui soit sujette: "placuit eciam graciarum actiones reddere domino episcopo parisiensis, non tamen nomine Universitatis, ne forte crederet episcopus quod Universitas sibi subjecta esset, cum sit extra jurisdictionem ipsius et unum corpus [a] parte" ;, /Le pape $MARTIN V$, par ses lettres datées de %1426% (28 juin), charge $Louis de LUXEMBOURG, évêque de £Thérouanne$, et $Jean de MAILLY, évêque de Noyon$ d'intervenir en réponse à la supplique de trois hommes, deux laïcs, $Johannes AMICI$ et $Ambrosius MALOISEL$, et un clerc, $Guillermus VIGUIER$, soupçonnés d'avoir commis un sortilège à *Paris. L'évêque de £Paris $Jean de NANT$ les a incarcérés, ce qui a provoqué un conflit avec $Jean GRAVERANT, O.P.$ du couvent=dominicain de £Paris, professeur en théologie et inquisiteur de £France qui prétend devoir avoir la connaissance de la cause de ces hommes. Ceux-ci, de leur côté, s'estiment détenus indument depuis plus d'un an alors qu'ils ont été les victimes d'un espagnol, $RODRIGO$, le véritable auteur des sortilèges, qui leur a extorqué de l'argent., /L'université s'est également mêlée de cette affaire, prétendant juger des affaires d'hérésie et a adressé à ce sujet des lettres à $PHILIPPE le Bon, duc de Bourgogne$.0.82 personnesde 1423 à 14264 sources
- 0.82 personnesFEG: 4, 165 n° 562 (Besançon, Henri HOURS)
- 0.82 personnesFEG: 4, 165 n° 562 (Besançon, Henri HOURS)
- + 3 autres faits
Source des données