LOISEL (A.), &Mémoires des pays... de Beauvais et Beauvaisis&, Paris, 1617, p. 215-216

/Or son parent $Antoine LOISEL$ assure que $Jean AVIS$ meurt sans enfants.

/$Antoine LOISEL$ ajoute au sujet de la forme latine de $Jean AVIS, qu'on en "fit une rythme par risée" et qu'il ouït "souvent reciter a feu Monsieur le premier President de Thou, lequel disoit l'avoir appris de Monsieur le President son pere et veüe representee en une vieille tapisserie, le malade luy disant : quand je voy maistre Jean Avis, je n'ay n'y fiebvre ny frisson. A quoi le medecin respond : gueri estes a mon advis, puisque vous trouvez le vin bon. Et un autre qui estoit la present lui dist : la peinture de vostre vis, a plus couste que la façon."